QUESTIONNAIRE

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FAMILLE

 

Filiation, parentalité, connaissance des origines, adoption, regroupement parental

 

"L'enfant est enregistré aussitôt sa naissance et a dès celle-ci le droit à un nom, le droit d'acquérir une nationalité et, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d'être élevé par eux " (art. 7.1).

 

"Les Etats parties respectent le droit de l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l'intérêt supérieur de l'enfant " (art. 9.3)

 

" Un enfant dont les parents résident dans des Etats différents a le droit d'entretenir, sauf circonstances exceptionnelles, des relations personnelles et des contacts directs réguliers avec ses deux parents " (art. 10.2)

 

"Les Etats parties s'emploient de leur mieux à assurer la reconnaissance du principe selon lequel les deux parents ont une responsabilité commune pour ce qui est d'élever l'enfant et d'assurer son développement. La responsabilité d'élever l'enfant et d'assurer son développement incombe au premier chef aux parents ou, le cas échéant, à ses représentants légaux. " (art. 18.1).

 

" Tout enfant qui est temporairement ou définitivement privé de son milieu familial, ou qui dans son propre intérêt ne peut être laissé dans ce milieu, a droit à une protection et une aide spéciales de l'Etat. " (art .20.1)

 

La co-parentalité remplace l'exercice exclusif du parent gardien.

L'enfant a de ce fait le droit à entretenir une relation avec ses deux parents et à être élevé par eux.

 

I - Selon vous, y a-t-il eu des avancées législatives en droit interne ?

Oui    Non

Si Oui, précisez

 

II - Des moyens ont-ils été mis en place pour favoriser l'application de la loi ?

Oui    Non        

Si Oui, lesquels ?

 

III – Avez-vous connaissance de blocages empêchant l’accès aux droits ?

Oui   Non        

Si Oui, lesquels ?

 

IV - Avez-vous connaissance d'expériences innovantes ?

Oui   Non

Positives :

Négatives :

 

V – Quelles seraient vos propositions ?


 

 

JUSTICE

 

 

Enfant victime, enfant auteur, parole de l'enfant en justice, mineurs en prison,

 

"Les États parties garantissent à l'enfant qui est capable de discernement le droit d'exprimer librement son opinion sur toute question l'intéressant, les opinions de l'enfant étant dûment prises en considération eu égard à son âge et à son degré de maturité " (art. 12.1).

 

" On donnera notamment à l'enfant la possibilité d'être entendu dans toute procédure judiciaire ou administrative l'intéressant, soit directement, soit par l'intermédiaire d'un représentant ou d'un organisme approprié, de façon compatible avec les règles de procédure de la législation nationale " (art. 12.2)

 

" Si un enfant est illégalement privé des éléments constitutifs de son identité ou de certains d'entre eux, les États parties doivent lui accorder une assistance et une protection appropriée, pour que son identité soit rétablie aussi rapidement que possible "(art 8.2).

 

" Les États parties prennent les mesures appropriées pour qu'un enfant qui cherche à obtenir le statut de réfugié ou qui est considéré comme réfugié en vertu des règles et procédures du droit international ou national applicable, qu'il soit seul ou accompagné de ses père et mère ou de toute autre personne, bénéficie de la protection et de l'assistance humanitaire voulues pour lui permettre de jouir des droits que lui reconnaissent la présente Convention et les autres instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme ou de caractère humanitaire auxquels les dits États sont parties ". (art.22.1)

 

" Les États parties veillent à ce que tout enfant privé de liberté soit traité avec humanité et avec le respect à la dignité de la personne humaine, et d'une manière tenant compte des besoins des personnes de son âge. En particulier, tout enfant privé de liberté sera séparé des adultes, à moins que l'on estime préférable de ne pas le faire dans l'intérêt supérieur de l'enfant, et il a le droit de rester en contact avec sa famille par la correspondance et par les visites, sauf circonstances exceptionnelles " (art. 37.c)

 

" Les États parties reconnaissent à tout enfant suspecté, accusé ou convaincu d'infraction à la loi pénale le droit à un traitement qui soit de nature à favoriser son sens de la dignité et de la valeur personnelle, qui renforce son respect pour les droits de l'homme et les libertés fondamentales d'autrui, et qui tienne compte de son âge ainsi que de la nécessité de faciliter sa réintégration dans la société et de lui faire assumer un rôle constructif au sein de celle-ci. " (art. 40.1)

 

Aucune loi ne pose le principe de pouvoir invoquer la convention internationale des droits de l'enfant devant les juridictions françaises.

 

On ne peut donc en revendiquer l'application en FRANCE.

 

I - Selon vous, y a-t-il eu des avancées législatives en droit interne ?

Oui    Non

Si Oui, précisez

 

II - Des moyens ont-ils été mis en place pour favoriser l'application de la loi ?

Oui    Non        

Si Oui, lesquels ?

 

III – Avez-vous connaissance de blocages empêchant l’accès aux droits ?

Oui   Non        

Si Oui, lesquels ?

 

IV - Avez-vous connaissance d'expériences innovantes ?

Oui   Non

Positives :

Négatives :

 

V – Quelles seraient vos propositions ?

 

 

A retourner avant le 31 mai 2005

 

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